Décryptage de la couverture de THE ECONOMIST 2023
[ Paris, le 15 novembre 2022 ]
par l'auteur du "Livre des symboles"
Les prévisions/prédictions de The Economist pour 2023
Le journal The Economist, et particulièrement sa couverture, défraye la chronique chaque année au mois de novembre. Pourquoi ? Simplement parce qu'elle a toujours annoncé les faits qui allaient survenir au cours de l'année suivante, sans ne jamais se tromper.
Ce journal, détenu par les familles Agnelli et Rothschild, est une sorte de Cassandre qui annonce, bien souvent, des catastrophes que seuls les "complotistes" semblent prendre - à juste titre - au sérieux.
Certains pensent qu'il s'agit de simples prévisions d'experts quand d'autres sont persuadés que les auteurs et leurs commanditaires savent vraiment à l'avance tout ce que nous prépare dans les grandes lignes les années à venir et qu'ils jouent à nous montrer le futur proche sous forme d'énigmes plus ou moins complexes.
Un retour en arrière sur les précédentes couverture vous prouvera que The Economist ne se trompe jamais ! Leurs prévisions sont souvent justes et troublantes de précisions (on ne citera ici que le pangolin sur la couverture qui annonçait les évènements de 2019).
La couverture parue en novembre 2022 est conçue par le même designer qu'en 2021. Il s'agit de Israel G. Vargas qui a pour mission de mettre en images (et en énigmes) les informations fournies par ses commanditaires. Le grand jeu des élites consiste à fournir des informations claires mais aussi des messages cachés, codés...
Ainsi l'auteur de l'article ci-dessous s'efforce de décrypter la couverture de The Economist 2023 et propose ici une analyse et une interprétation qui lui sont propres.
Bien évidemment, les images, les messages visibles ou cachés ne peuvent pas tous être ici expliqués, les symboles et les images ayant toujours un sens différent, un sens positif ou négatif : la vérité des uns n'est pas toujours celle des autres
Voici l'image de la couverture de THE ECONOMIST 2023 :
Avant toutes choses, il faut préciser que cette nouvelle couverture pour 2023, tout comme la précédente, présente non "le monde pour l'année suivante" (The world in ...) mais le monde "que nous prépare l'année suivante" (The world ahead...) ainsi les prédictions que l'on peut voir sur cette nouvelle couverture de The Economist 2023 vont en réalité concerner essentiellement la fin de l'année 2023 et le début de 2024 !
Pour une fois, il y a une évidente continuité entre les deux couvertures et le choix du même designer (et donc du même type de visuel) n'est pas anodin.
Nous vous invitons à jeter un oeil sur l'analyse précédente du monde prévu pour l'après 2022 par The Economist pour constater que The Economist a le nez fin... avec plus d'une année d'avance... ce que l'on voit sur l'ancienne couverture "The world Ahead 2022" serait donc en fait les évènemenents de fin 2022 et début 2023 !!
Les protagonistes
Au centre, Poutine apparait assez serein. Il regarde vaguement vers Biden (qui est sur cette image insignifiant voire absent). Zelinsky parait soucieux voire désabusé, il donne l'impression de chercher de l'aide ou quelqu'un du regard.
En haut, à droite, nous trouvons Tsai Ing-wen, la présidente de Taïwan qui, tournée vers le président chinois, parait quelque peu interrogative.
Le président chinois, Xi Jingpin, à gauche de Poutine, donne l'impression de regarder ailleurs et de se désintéresser de tout (y compris de Taïwan).
Enfin, l'italienne Giorgia Meloni, d'un air décidé, fait ici un geste énergique qui indique une progression, une sortie ou un virage "à droite toute !".
Les objets d'illustration
Il s'agit essentiellement d'images ayant une relation avec la guerre.
- Le lance-missile mobile à coté de Zelinsky et orienté vers l'Italie (certaines prophéties évoquent la
destruction de Rome)
- La molécule de CH4 (
méthane) derrière Zelinsky
- Le cargo ING FSU à coté de Biden qui évoque la livraison de
gaz de Schiste en Europe
- Les éoliennes derrière Biden qui nous rappellent la pénurie d'énergie, les énergies de substitution et l'éventuel
Pass Carbone
- Le téléscope
James-Webb de la NASA et le satellite américain de communication
EchoStar 16 au niveau du président chinois pour la
guerre de l'espace
- Des pilules ou des molécules de sang pourraient évoquer l'arrivée d'un
nouveau virus (variant du Coronavirus ?) un fois encore en Italie
- Le gros plan sur un microscope derrière la présidente Taïwanaise
- Le taxi volant chinois Xpeng
- Un bras de robot industriel
Que dit clairement cette couverture ?
Si l'on se contente de ce que le designer nous montre de prime abord, on peut dire que cette couverture est plus lisible, plus simple à
comprendre que les précédentes. Peut-être parce que le plan des élites doit être de plus en plus clairement dévoilé...
On y voit l'évocation des points suivants qui devraient survenir au cours de l'année 2023 et prendre de l'ampleur en 2024 :
> la Russie au centre des préoccupations mondiales
> le conflit entre la Chine et Taïwan
> la guerre entre la Russie et l'Ukraine
> les frictions entre la Russie et les USA
> les tensions entre la Russie et l'Union Européenne
> des bouleversements en Europe (induits par la politique italienne et la guerre en Ukraine)
> la domination du couple Russie-Chine
> des soucis dans le monde de l'industrie incarnée par le robot notamment en Asie (pénuries de matériaux, manque de microprocesseurs, manque de semi-conducteurs)
> la course à l'espace et de nouvelles découvertes associées au téléscope James Webb
> la pénurie de gaz et l'approvisionnement en gaz de schiste américain
> un nouveau variant du COVID ou un nouveau virus
> le respect de l'agenda 2030
> la livraison par drone et le doux rêve de la voiture volante prévue pour 2024...
Et que peut-on voir de moins flagrant sur cette image ?
• La couverture pour 2022 était une cible faisant apparaitre plusieurs missiles et opposait le couple Russie-Chine / USA-Europe. Cette fois, il semble que nous ayons la suite de l'histoire... Le monde semble morcelé, éclaté, comme si la cible avait été touchée ! Le fameux
"grand reset" apparait alors comme étant indispensable et inéluctable.
• Le lance-missile semble envoyer des produits qui touchent le sang. Peut-il s'agir d'une allégorie d'une
guerre bactériologique qui commencerait par toucher l'Italie ou est-ce la progression des effets désirables du vaccin anti-covid (pour les plus anti-vax d'entre vous) ? Il en est de même pour le microscope qui nous fait penser aux virus ou à l'évolution de la recherche en Asie
• La couleur rouge, c'est la guerre, le sang, le communisme et Satan. Elle est omniprésente ici. Evoque-t-elle la guerre, un futur virus,
une arme bactériologique ou un mal nouveau qui s'attaquerait à la circulation sanguine provoquant des AVC, des thromboses, des crises cardiaques, des problèmes de coagulation...
• Le geste de l'italienne Meloni peut être intérprété comme indiquant une sortie. On pourrait penser qu'elle mime avec les mains l'expression "Scappa !" (fuyons). Est-ce l'évocation d'une sortie de l'euro de l'italie ? (italexit)
• Les quadrillages rappellent le damier d'un
jeu de Go avec des pions noirs, blancs... et rouges ! Le Jeu de Go, d'origine chinoise, dont le but est la constitution de territoires.
• Le taxi volant ressemble ici à un frelon asiatique menaçant. Il ne s'agit pas d'un drone classique puisque l'on reconnait le
drone pilotable Xpeng avec ses portes ouvertes vers le haut. Ce véhicule électrique (conçu sur une configuration de drone miniature X8) vole parfaitement bien ! Il suscite tous les espoirs - notamment à Dubaï - mais ne peut, à ce jour et malgré les promesses, voler plus de 10 minutes avec un passager à son bord (notamment à cause du poids et de la capacité limitée des batteries LIPO actuelles : Lithium Polymères). Leur commercialisation en 2024 semble fortement compromise et ressemble à un énorme mensonge :
"Fake it until you make it"
• Comme pour la couverture pour 2022, les petits carrés collés entre eux évoquent le microchip (la puce électronique) qui symbolise la miniaturisation des objets technologiques et le
puçage des êtres humains sous forme d'implants.
On pense alors à l'intelligence artificielle (avec en prime la présence du bras robotisé et son allure de serpent agressif) et par extension au transhumanisme, apprécié de nos élites mondialistes.
• Le fond quadrillé semble aussi s'inspirer des fonds du monde virtuel
Sandbox du Metaverse. Un environnement (conçu par 2 français) du monde virtuel de Facebook associé aux NFT et donc à la
cryptomonnaie et à la blockchain.
• Les petites boules noires, blanches et rouges font encore penser à nos vieux cours de chimie et peuvent représenter des composés chimiques plus ou moins nocifs à base de C, H, O et N tels que CH3O, C3H2O, C2HO3...
La
molécule de CH4 (méthane) notamment est celle qui se répand actuellement en grande quantité dans l'air à la suite du dégel du permafrost (surtout en Sibérie). Ce sol gelé est susceptible d'héberger des bactéries et des virus inconnus qui pourraient dès lors se retrouver dans l'air !
Les molécules chimiques derrière Zelinsky pourraient elles aussi évoquer une arme bactériologique sur le territoire ukrainien ou être vues comme une référence à l'
Atomium de Bruxelles (pour le rapprochement Ukraine/Europe ou pire, pour évoquer une bombe nucléaire en Ukraine)
• Le téléscope, dont la forme fait penser aux alvéoles d'une ruche d'abeilles, évoque la structure du
graphène, ce matériau ultra-léger et prometteur pour l'industrie. A ce propos, les tenants de la théorie du complot avancent que les vaccins anti-Covid contiennent des micro-particules de graphène.
• Le nombre 666 (nombre de la bête dans l'Apocalypse de Saint Jean) semble étonnamment absent. On notera simplement que les protagonistes sont au nombre de 6.
• Rouge, noir et blanc sont les couleurs du
Grand Oeuvre des alchimistes. C'est à dire la manipulation chimique qui permet d'obtenir la pierre philosophale pour transformer le mercure (ou le plomb) en or. Ce sont là encore les couleurs qui avaient été aussi choisies en 2022 par The Economist. En outre, le drapeau nazi avec la croix gammée était en noir, blanc et rouge (est-ce une référence aux groupuscules nazis en Ukraine?)
• Les éoliennes incarnent le vent et l'air ! Est-ce que les éoliennes derrière Biden ne nous mettraient pas en garde contre un
arme bactériologique créé par les américains et pourrait être directement envoyé dans l'air ?
• La couverture fait la part belle au carré (ordre, rigueur, frontière,
enfermement), et par extension au chiffre 4 et à la lettre D. Les carrés peuvent aussi évoquer des cubes ou des dés dépliés...
• En cherchant bien, on peut trouver que l'ensemble des carrés forment une espèce de France stylisée, totalement absente de la couverture. Il s'agirait d'une
France éclatée qui incarnerait alors l'explosion de l'Europe.
• Enfin, la couverture 2022 évoquait en filigrane le
15 janvier 2023 sans trop que l'on sache ce qui devait arriver ce jour là. Par continuité, des dates doivent certainement être encore cachées ici (par le jeu des points rouge, noir et blanc et des quadrillages).
ET ROTHSCHILD ?
Comme pour la couverture 2022, on retrouve une disposition qui évoque une espèce de grand "blason rouge" éclaté, ce qui se traduit en allemand par "ROTH SCHILD".
La célèbre famille avait un "bouclier rouge" en guise d'armoiries. Mayer Rothschild, né Mayer Amschel Bauer décida de changer son nom en Rothschild en se référant à ce fameux bouclier rouge, symbole de la maison familiale puis de la banque créée par son père. Rappelons que "The Economist" appartient en grande partie aux Rothschild. La banque Rothschild sera-t-elle un acteur majeur de la mise en place du plan en 2023 ?
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